Rigidité excessive, trop de VAR et de buts annulés pour un cheveu : ce n’est plus du football.

Après douze journées, soit pratiquement un tiers du championnat, il est temps de faire un premier bilan, y compris en ce qui concerne les arbitres. Malgré les polémiques, on a pu constater certaines lacunes dans l’arbitrage. Ces lacunes ne sont pas en faveur d’une équipe en particulier – certaines auront bénéficié de plus d’erreurs en leur faveur que d’autres, mais ce n’est pas là le point important – mais elles nuisent au jeu. Une trop grande dépendance à la VAR… Malgré la clarité du message du désignateur Gianluca Rocchi – “L’arbitre arbitre, pas la VAR”, son mantra – et la réaffirmation de ce concept par le responsable du secteur technique arbitral Antonio Damato en réponse à Antonio Conte, l’intervention excessive de la technologie VAR persiste. Dans les propos de Nesta avant Monza-Lazio, on ressent peut-être un peu de frustration quant aux récents...