« Pas un jour où je me lève sans douleur », mais à 42 ans Foued Kadir, ancien de Valenciennes, fait durer le plaisir en N2
Au téléphone, la voix est enjouée et le plaisir de se replonger dans les souvenirs n’est pas simulé. Foued Kadir est heureux parce qu’il s’est encore levé dans la peau d’un footballeur. «Je suis toujours comme un enfant à l’idée d’aller courir, m’entraîner et taper dans le ballon. Tous les matins c’est comme ça, c’est la passion», assure le milieu…