Rivellino évoque un Brésil en retard pour la Coupe du Monde, exprimant sa préférence pour Abel et souhaitant une équipe nationale « sans l’influence italienne » d’Ancelotti : « Notre identité est résolument offensive ».
Dans une interview exclusive accordée à ESPN, Rivellino a partagé une analyse franche des sept premiers mois d’Ancelotti à la tête de la sélection brésilienne.
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