Paroles de jeunes Marseillais des quartiers confrontés au narcotrafic : « Il y a trop de morts pour pleurer à chaque fois »
La banalité du trafic et de la mort. Sabri (le prénom a été changé), 19 ans, se souvient du premier corps qu’il a vu se faire cribler de balles, sous ses yeux. Il avait 7 ans, c’était en 2013, il jouait au foot dans la cité où il a…