Simplicio : “Avec Sacchi, j’étais meilleur que Kakà. Une fois, j’ai trop bu et je me suis retrouvé dans une fontaine avec ma voiture…”
L’ancien milieu de terrain brésilien déclare : “Arrigo était comme un père pour moi, Zamparini un homme respectable mais peu patient. En revanche, je n’ai pas d’estime pour Sabatini : il m’a mis à la porte à deux reprises sans même m’en informer. À Rome, nous, les Brésiliens, avions l’habitude de nous amuser chaque jour…”
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