Barre, nappe et tapis aux couleurs bleu et grenat.
Un large éventail d’émotions a marqué l’avant-dernier week-end de novembre d’une année riche en événements. Joies et peines se mêlent. Amours et désamours, comme celui entre Florentino Pérez et Joan Laporta. De complices pour concevoir une grande superligue, ils en sont maintenant à cacher les intentions supposées de transformer le Real Madrid en société anonyme, sans rien de concret à prouver sur les arbitres. Et puis il y a Emiliano, un Italien qui ignorait tout de la finale de la Coupe Davis, mais qui a tout de même eu le plaisir de crier dans son café, le seul à diffuser le match en direct : “nous sommes les meilleurs”, en apprenant que son pays avait remporté ce titre pour la troisième fois consécutive, une compétition qui, pour moi, a perdu du charme au fil des ans. Lire la suite…
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