Édito : Merci Ya Seba
Quand Sébastien Desabre a posé ses valises à Kinshasa, en juillet 2022, il ne savait pas encore qu’il marchait dans une maison qui sentait encore le brûlé. Le souvenir d’Hector Cuper planait au-dessus de la sélection comme un fantôme qu’on ne parvient pas à convaincre de changer de domicile. Le pays avait tellement mal digéré ce premier “sorcier blond” que…