Jamais sans mon voisin
Dans un monde idéal, la Coupe arabe devrait servir de vitrine à l’unité arabe, une sorte de grande photo de famille où l’on pose bras dessus, bras dessous, pour montrer au reste de la planète que, malgré nos défauts, on sait au moins s’accorder autour d’un ballon. Mais dès que l’arbitre siffle le début d’un…