Ces dernières années, plusieurs études scientifiques ont démontré que les pratiquants de sports de contact, sujets aux commotions cérébrales, présentent plus de risques de souffrir ensuite de maladies neurodégénératives. Emmanuel Orhant, responsable médical de la Fédération française de football, dresse un état des lieux sur le sujet pour Ouest-France, alors que l’instance a publié, ce lundi 15 décembre, un livret numérique…