Nesti se souvient de la finale de la Coupe du Monde 1994 aux États-Unis: “C’était moi et Bruno Pizzul. Il a ramassé une feuille par terre et…”
Les souvenirs du commentateur de Rai : “Bruno, un géant désabusé. Enfant, je me enfermais dans la salle de bain et je commentais des matchs imaginaires. Puis, grâce à Biscardi à la télévision, j’ai inventé ma propre carte.”
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