Trois victoires en 40 ans : est-ce un triplé ?
Avec un sourire chaleureux et sincère : “C’est un joueur qui rehausse la compétition, mais pour nous, il vaut mieux qu’il ne joue pas.” C’est ainsi qu’Ernesto Valverde s’est exprimé clairement la veille de la première demi-finale. Un match marqué par une épée de Damoclès particulière. À Djeddah, au King Abdullah, il a dirigé son dernier match en tant qu’entraîneur du FC Barcelone. “Je l’ai mentionné en voiture, mais je ne pense à rien de spécial”, a-t-il souri à nouveau. Il n’a pas non plus voulu endosser le rôle du favori, rappelant à ses joueurs un récent réveil douloureux : “Nous pouvons, ou du moins essayer, de rivaliser dans tous les matches. Mais nous souffrons aussi. Nous sommes ce que nous sommes. Nous venons de nous qualifier aux tirs au but contre une équipe de Segunda RFEF en Coupe…” Quant...
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