Selon L’Équipe, Waldemar Kita observe cette lente érosion sans vraiment pouvoir la freiner. Le FCN glisse derrière les locomotives du championnat, coincé entre les petits moyens et les gros chantiers. Nantes apparaît presque résigné face à la concurrence : Marseille, Rennes, Lens, Lille, tous mieux armés. Le président, qui reste l’actionnaire majoritaire, n’exclut toutefois plus l’idée d’une ouverture du capital…